Près de 600 Travailleurs Sans Papiers, avec l’aide de la CGT (des Unions Locales à notre Confédération), ont organisé une trentaine de piquets de grève pour obtenir des “cerfas” (document administratif permettant de régulariser leur situation par le Travail).

Une bouffée d’air frais de solidarité, de liberté, de luttes de classe dans cet univers médiatique vicié par les paroles de l’extrême droite…

Au bout d’une semaine de grève, l’immense majorité des employeurs ont cédé.

Signalons que l’embauche de Travailleurs Sans Papiers permet de mieux diviser les salariés, de baisser les salaires, de dégrader les conditions de travail…

Les combats de ces prolétaires continuent notamment dans les métiers du bâtiment ou règne la sous-traitance en cascade…