Nous trouverons ci dessous le communiqué du syndicat CGT de l’Arbine à la suite du rachat de leur usine.

20241028 communiqué CGT Niche Fused Alumina

 

 

Nous trouverons également ci dessous, « le coup de gueule de la CGT SAVOIE » parue dans l’info de l’UD N°21″

  • L’usine de l’Arbine

Ce vendredi 25 octobre 2024 à 14h00, L’Arbine est redevenue le jouet du groupe Altéo.

Jouet alors que ce rachat va préserver des centaines d’emplois, maintenir notre souveraineté industrielle et limiter notre Empreinte Carbone ?

La CGT est-elle inconsciente ?

Assumons. OUI. Et elle est consciente qu’il faut transformer cette société ! C’est écrit dans nos Statuts, dans notre Histoire, dans nos Valeurs.

Pour la CGT, l’Etat et la Région en apportant des garanties financières doivent être au Conseil de direction au même titre qu’Altéo et ses banques (Rothschild quand même !). Et surtout, les Travailleurs avec leurs organisations syndicales doivent aussi représentés.

C’est le sens de notre revendication de « droits nouveaux pour les Travailleurs pour contrôler la stratégie, l’organisation du Travail et la gestion des aides publiques dans les entreprises et en interprofessionnel. »

 

Pour plus d’info, lisons l’intervention de l’UD à la dernière fête des Allos.

Lisons, pendant qu’on y est, l’intervention sur « pourquoi la CGT s’est engagée dans la bataille des législatives ? »

 

Bien entendu, la CGT SAVOIE a soutenu les luttes des Travailleurs de l’Arbine depuis 2 mois :

 

Pour compléter ce dossier, la CGT, par le biais de notre Secrétaire Générale Sophie Binet (qui est intervenue directement auprès du Ministre de l’Economie sur la situation de l’Arbine) a tenu une conférence de presse sur la situation de l’Industrie.

 

Et maintenant ?

La survie de notre industrie passe bien évidement par la lutte.

Imposons aussi à monsieur le Préfet de respecter son engagement d’organiser une conférence sociale et environnementale sur l’Industrie en Savoie.

Nos syndicats ont des propositions en matière de stratégie, d’organisation du Travail, de gestion des aides publiques pour mieux produire, pour limiter la pollution, pour renforcer la sécurité…

A nous de valider un cahier de revendications interprofessionnelles (et oui, pas d’industrie sans services publics et vice et versa !)