Plus de 200 travailleurs  ont déposé leurs outils devant les grilles de la Préfecture et les portes de l’Inspection Académique.

Le lendemain, scène identique à Albertville. Les cheminots vont faire de même devant la gare.

De partout, dans le public et dans le privé, les salariés disent STOP au « mal travail », aux ordres et contrordres, à la vision uniquement statistique des métiers.

Bien entendu, nous exigeons aussi

l’abandon du projet de loi sur les retraites.